26/11/2021

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L’édition 2021 du Salon du Livre arnolphien était  destinée à l’ensemble des lecteurs. On y a donc retrouvé tous les genres littéraires. C’est sans aucun doute ce qui contribue à son succès, au même titre que l’accueil chaleureux réservé tant aux auteurs, aux maisons d’édition, qu’au public. Ce petit plus contribuera,  si ce n’est déjà fait, au fil du temps à rendre incontournable le rendez-vous arnolphien.

• Un livre c’est aussi parfois du texte accompagné d’illustrations. Après un moment de lecture, l’atelier proposé par l’ablisienne Françoise Viquerat a permis au jeune public durant le Salon de laisser s’exprimer ses qualités artistiques. C’est cela aussi le livre, l’illustration.

• Céliane Brami-Guérin et sa maman Francine Bellet arnolphienne depuis le mois de juillet, sont reparties les bras chargés de livres. « Maman lit 5 à 6 livres par semaine. Ce sont d’ailleurs les Chroniques Italiennes de Stendhal qui lui ont inspiré mon prénom », précise la fille.

• Iñaki Perez Azcarate a le don de susciter l’actualité. Deux de ses ouvrages, « Sac à terre » et « Chaos » ont trouvé écho a posteriori dans des faits divers retentissants. Vous avez envie de savoir lesquels ? Passez donc à la médiathèque « Les yeux d’Elsa » emprunter ses ouvrages.
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lève de 6e au collège Georges Brassens, Antoine a été séduit par Mahaut l’un des personnages présenté deux jours plus tôt en classe par l’autrice elle-même, Sophie Noël. Il s’est fait dédicacer les deux premiers tomes de son nouveau héros.
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Atelier artistique proposé par Françoise Viquerat.
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Céliane Brami-Guérin et sa maman.
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Iñaki Perez Azcarate.