La mairie

Tout au long de l’année, depuis la classe de 3e pour une semaine d’observation jusqu’aux stages à mener lors de formations supérieures, la mairie accueille des stagiaires avec l’ambition d’apporter à cette jeunesse une réelle approche de la vie de tous les jours.

LILOU, 15 ANS, DE SAINT-MARTIN-DE-BRÉTHENCOURT
Quelle profession envisages-tu plus tard ?
Je souhaite être policière ou gendarme. Je regarde les reportages en ligne sur les interventions des forces de l’ordre. J’ai envie d’exercer ce métier car il vient en aide aux gens. La police est là pour aider les personnes et recadrer ceux qui ne respectent pas les règles.

Est-ce que le stage en mairie conforte ton choix ?
Oui. Cela m’a permis de rencontrer le chef de la police municipale. Il m’a donné les clés pour accéder aux différentes formations.

Pourquoi as-tu opté pour une formation «relation client» ?
La condition pour accéder au concours des écoles est l’obtention du bac ou d’un équivalent. En sortie de 3e, mes notes étaient trop faibles pour accéder à une formation générale. J’ai opté pour une formation pro, ma moyenne avoisine la note de 15.

Quel enseignement tires-tu de ton stage à la mairie ?
Il s’est montré intéressant. J’ai pu découvrir bien plus que l’accueil. J’ai pu voir en action la police municipale et participer à la cérémonie commémorative du 18 juin. J’ai rencontré et échangé avec les gardes républicains. Je pratique aussi l’équitation. Vivre sa passion pour le cheval tout en travaillant, c’est bien.


MANON, 16 ANS, DE SAINT-ARNOULT-EN-YVELINES
Quelle profession envisages-tu plus tard ?
Je souhaite travailler dans l’événementiel, notamment dans la décoration et la mise en scène d’événements : mariage, anniversaire… J’ai déjà participé à des décorations lors de fêtes familiales. J’envisage un BTS à l’issue du bac pro, voire une formation en alternance.

Qu’est-ce que le stage à la mairie t’a apporté ?
Lors du temps passé à l’accueil, cela m’a permis de me donner confiance à l’oral et de vaincre ma timidité pour parler aux gens. J’ai aussi répondu au téléphone. À l’occasion de la cérémonie du 18 juin, je me suis rendu compte du besoin de préparation nécessaire pour coordonner le déroulé, pour inviter toutes les personnes et faire en sorte que chaque acteur soit à sa place. J’ai aussi assisté à une réunion préparatoire avec l’élue en charge des cérémonies commémoratives. J’ai fait le même constat également à l’occasion de la fête de la musique. Il ne faut rien oublier…